Je ne me sens pas très fin tout le temps.

Je sais, ce n’est pas très malin mais pourtant….

À plonger dans SERAFIN PH, on se sent plutôt gros sel qui gratte.

Un comptage vinaigré, acide à souhait qui fait de nos métiers, des cuisiniers à rude épreuve.

À trouver la bonne dose, le bon grammage, l’émulsion qui préservera nos cœurs de métier : notre ACTIVITÉ !!!

 

Alors, ça ne sert à rien de faire la fine bouche, tentons d’affiner cette procédure de tarification.

Entre chiffres et souffrances, entre nos petites institutions et nos salières et nos poivrières

Restons sans clore, sans ph, soyons fins finalement.

Soyons force de calculs, ce que nous savons faire, sans édulcorants, avec nos accueils, nos petits plats, nos savoir-faire, nos mayonnaises et autres alchimies du lien

 

Mettons-nous à table, à plusieurs, à militer et à expliquer nos pratiques humanistes et assaisonnées comme il le faut.

 

SERAFIN PH n’est qu’un plat qui nous donne un peu de piment mais qui nous fera continuer à cuisiner de belle manière dans nos institutions.

Et même si l’on manque de sel, de poivre ou d’autres colorants pour avancer, on aura nos humanités et nos accueils pour continuer de soigner.

En proposant quelques instants de grignotages sans en reprendre trop … Mais juste ce qu’il faut !!!