Comptes-rendus
ANAS - Travailleurs sociaux et usagers
Travailleurs sociaux et usagers : quelles relations ?
Investir l’usager à une place de sujet et non pas de simple objet passif de la relation d’aide implique une attitude professionnelle où prédominent respect et circonspection : est-ce bien toujours le cas ?L’ANAS n’avait pas réussi, loin de là, à remplir la salle en organisant sa réunion débat consacrée à la place des usagers (1). Faut-il en déduire que les professionnels ne sont pas intéressés par ce sujet ? Ou qu’ils craignent la montée des droits de celles et de ceux qui prennent de
ANAS - Prendre rien que notre place mais toute notre place
Un questionnement dans l’air du temps
La place de
Ministère de la Justice
Face au tout répressif, l’éducatif n’a pas dit son dernier mot
Retour sur la réparation pénale qui a fait l’objet d’une journée d’étude proposée par le Ministère de la Justice.
Face à la délinquance des mineurs, l’alternative n’est pas entre excuser (au nom d’une société basée sur l’injustice) ou réprimer (au nom de la tolérance zéro). Il y a de la place pour une réponse citoyenne qui rappelle la loi tout en faisant la place à l’éducabilité de l’individu. Dans notre dossier du 31 mai 2001, nous évoquions la médiation pénale comme une réponse
ANAS - Partage de l’information
Face aux nouveaux outils de communication : Portée et limites du partage de l’information
Action inter-partenariale, co-évaluation, approche interprofessionnelle, démarche pluridisciplinaire... autant de notions très à la mode qui impliquent un partage de l’information, partage de l’information d’autant plus facilité par l’utilisation de plus en plus courante de l’informatique. L’enchaînement est ici trop « évident » pour qu’on ne se pose pas quelques questions...
Nul ne peut aujourd’hui nier la nécessité de la collaboration entre les
GRAPE - L’ère du soupçon
Sommes-nous entrés dans l’ère du soupçon ?
« Si tout le monde bouge alors ça bougera » affirmait une campagne de sensibilisation, récemment. Il a pu sembler au cours des dernières années que la lutte contre la maltraitance relevait surtout de la mobilisation et de la prise de conscience. Il apparaît de plus en plus, que cette question est complexe et que les modalités suivies jusqu’à présent pour la traiter ont provoqué des effets pervers dont on n’avait que peu de représentations jusqu’alors. D’où la multiplication des interrogations et desAIRE 2000 - Instituts de rééducation ?
L’AIRe(1) a cinq ans d’existence. Créée à l’origine par une poignée de directeurs d’Instituts de Rééducation de la région Bretagne, cette association regroupe aujourd’hui la moitié des structures accueillant les
Conférence de Jacques Salomé
S’écouter pour mieux s’entendre
A 65 ans passés, Jacques Salomé a décidé de profiter d’une retraite bien méritée. Il a mis fin à ses conférences qui, depuis 30 années, lui ont fait parcourir toute la France. Ce soir-là, il avait fait une exception, à l’invitation de la section de La Baule de l’association « Parrainparmille » du Comité d’honneur duquel il fait partie. Connu pour une approche originale qu’il a développée dans ses 32 livres parus (et deux à venir) dont il dira lui-même qu’il s’agit de 32 (34) chapitres d’un même ouvrage, son
Handicheval
Le cheval : vecteur de thérapie et d’insertion
Depuis quelques années, l’utilisation du cheval pour soigner et insérer les populations en difficulté ne cesse de prendre de l’importance. Ces pratiques trouvent régulièrement leur consécration lors de colloques mondiaux qui attirent tant les parents que les personnes handicapées, les professionnels (thérapeutes, éducateurs, gens de chevaux) que les bénévoles du milieu de l’équitation. Fin avril 2000, les dixièmes rencontres internationales avaient lieu en France(1)
ANCE - Relever le défi de la violence
Certes, on peut évoquer les manipulations des média qui jouent un rôle de caisse de résonance et déforment parfois l’ampleur réel du phénomène. On peut aussi rappeler qu’hier n’était pas forcément mieux qu’aujourd’hui et que si la violence est de moins en moins acceptée, cela ne signifie pas forcément qu’elle s’aggrave. On peut encore s’étonner que seuls les actes posés par les jeunes provoquent
AFIREM - Où en est-on face à la maltraitance ?
Plus de mille participants avaient répondu présents aux quatre conférences plénières et dix huit ateliers animés par